Souvent la vie s'amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d'un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue... Et la vie n'est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi...
J'ai aimé !
+ Après Les yeux jaunes des crocodiles et La valse lente des tortues, ce troisième tome des aventures de Joséphine, Hortense, Shirley et bien d'autres est comme un canapé moelleux au coin du feu : on s'y installe avec plaisir et habitude. Malgré un nombre de page rédhibitoire, on se laisse porter par le récit, par les petits détails qui émaillent la vie de ces gens dont on se sent presque familier. On se surprend à attendre le prochain tome avec impatience...
- Katherine Pancol se laisse porter par la vague du succès mais la routine n'est pas loin ! Il ne faudrait pas que cette saga n'en finisse pas. Le côté très sentimental et passionnel m'a parfois profondément agacée.
Joséphine Cortès (3) : Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi, Katherine Pancol
Éditeur : Albin Michel
Paru en 2010
852 pages
24.20 €
ISBN 978-2-226-20831-6
Éditeur : Albin Michel
Paru en 2010
852 pages
24.20 €
ISBN 978-2-226-20831-6
J'ai lu cette série il y a quelques années : pas spécialement transcendant, mais idéal pour se changer les idées.
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